|Ec13] Ector Lamorti, Professionnel Sénile

Publication non officielle [Ec13] d'Ector Lamorti (dit l'avatar), Old Crazy Horse ec-tien déjanté et paradoxal (Une personne accepte de faire partie de la catégorie des seniors (pro) autour de 70 ans alors que les marketeurs en parlent dès 45/50 ans). Nb : l'âge moyen de "l'ectien" est de... 75 ans !

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Heureusement il y a Findus !

Un beau cheval doit avoir : beaux crins, belle poitrine, beaux reins et grosses fesses.

Une belle pouliche doit avoir : beaux crins, belle poitrine, beaux reins, belles jambes et grosses fesses.

Pouliches sélectionnées, vu le dos de l'écuyère, pour l'amélioration de la "race aryenne" (et non pas chevaline)

Affiche Findus

sera la merda !

jolly jumper

Of course !

La viande cheval britannique est parfois contaminée par du phénylbutazone qui est un est un anti-inflammatoire non stéroïdien interdit à la consommation.

Cette contamination ne concerne pas la Roumanie, elle est propre à la Grande-Bretagne qui ne s'interdit pas d'exporter ses carcasses empoisonnées vers la France ...

Concernant Findus, il n'y aucun risque sanitaire, c'est une tromperie sur la marchandise dont il faut bien sur trouver le et/ou les auteur(s).

Vu la réputation sulfureuse du trader néerlandais, tout s'oriente vers lui.

La société Draap Trading Ltd dont le siège est à Chypre, et dont le directeur est Jan Fasen n'inspire vraiment pas confiance.

Son directeur a déjà été condamné, pour tromperie sur la marchandise, à un an de prison dont trois mois avec sursis en janvier 2012 pour avoir vendu de la viande de cheval provenant d'Amérique du Sud qu’il avait étiqueté « bœuf allemand halal ».

Question :

«Pourquoi fait-on appel aux services vétérinaires alors qu’il s’agit d’une affaire de tromperie économique ? C’est une manière pour le ministère de l’Agriculture d’avancer ses pions... et pour certains d’avoir de la visibilité.»

Que révèle le contenu des bons de commande Spanghero ?

S’il y a écrit bœuf et que c’est facturé au prix du bœuf c’est que le trader a les mains sales et s’en mettait plein les poches.

Les factures ne constituent pas une preuve, pour la simple raison que les comptables vérifient si la livraison est effective (nombre de postes * quantités & Total de la facture), les comptables ne sont expert qu’en facturation. (et encore ! - remarque personnelle du webmaster -)

La certification ISO comporte des failles que des escrocs exploitent régulièrement.

La France s’orienterait-elle vers un scandale politique en ayant, sans discernement, hâtivement désigné un coupable idéal ?

Si les barquettes Findus sont faites de cheval, grâce à Spanghero, au gouvernement, grâce au PS, il y a beaucoup d'âne(s) !

ps : qui se souvient encore que naguère, la Grande-Bretagne ne s'interdisait pas d'exporter sans état d'âme, ses carcasses de vaches folles vers la France ...(cf supra : "les années vache folle")

un cheval, des chevaux..

Hollandais de Trait = race chevaline

Hollande de Tulle = race asine

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Merci Findus ! (Hongrois qu'y a que du boeuf, mais y'en a pas que, de la merde aussi) hihihihihi !

Viande de cheval : au lieu de critiquer Findus, on devrait lui dire merci

Modifié le 15-02-2013 à 11h20

23 réactions | 5504 lu

Temps de lecture : 5 minutes

Par Dom Bochel Guégan
Chroniqueuse société

LE PLUS. La viande de cheval découverte dans les lasagnes Findus enflamme les politiques, les consommateurs et le monde agroalimentaire. Pourtant c'est bien ce dernier qui a fait des tests et découvert le pot aux roses. Alors Findus est plutôt coupable ou victime ? Notre chroniqueuse Dominique Bochel Guégan rappelle comment est produit ce qui arrive dans nos assiettes.

Édité par Alexis Toulon Auteur parrainé par Aude Baron

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Lasagnes Findus. Viande de boeuf dans des plats cuisines le 13 février 2013 (DURAND FLORENCE/SIPA)

FINDUS. Que mange-t-on ? Qu'il y a-t-il réellement dans nos assiettes ? Depuis quelques jours la question devient plus angoissante, plus obscure au fur et à mesure que les scandales alimentaires sont dévoilés.

Les uns feraient du profit en spéculant, d'autres en feraient en trompant sur la marchandise. Le bœuf français ne serait finalement pas français, il paraît qu'il n'y en a pas assez, ni même du bœuf, finalement ce serait du cheval, ou peut être même bien de l'âne.

Des boulettes de bœuf contiendrait du porc, et demain quoi ? De l'anguille dans le potage ? De la peau de poulet dans nos Nuggets ?

Des aliments contaminés au phénilbutazone (qu'on découvre pour l'occasion) ?

Qu'outre le fait que pour les Anglais manger du cheval revient à manger son chien, la viande de cheval pourrait être dangereuse pour la santé ?

La viande à l'aune de l'économie mondialisée

Pour l'instant, c'est sous le gravier que se trouve la baleine, et toute cette nébuleuse affaire, toutes ces nébuleuses affaires n'ont démontré qu'une chose, que le lien de confiance déjà ténu qui existait entre le consommateur et l'industrie agroalimentaire était sur le point de rompre, et qu'il fallait que cela change, vite.

A l'occasion de cette affaire, on aura ainsi appris l'incroyable parcours, presque ubuesque, qu'empruntaient les "pains de viande" avant d'être cuisinés sous la forme de plats surgelés. On aura appris que la bouffe est un business comme un autre, avec les dérives que cela implique.

On aura aussi appris l'incroyable surnombre d'acteurs, de fournisseurs, de traders divers et variésqui, pour certains, en spéculant sur le prix en gros de la viande auront ainsi dessiné ce parcours abracadantesque.

Et enfin, on aura appris l'opacité qui entoure les ingrédients qui composent ces fameux plats surgelés, et une industrie agroalimentaire qui devrait pourtant se montrer la plus rigoureuse, qui nous promène de pays en pays, et surtout qui nous ment.

En dehors du consommateur qui a été trompé et aimerait bien savoir ce qu'il mange vraiment, mais aussi sans doute des éleveurs français qui préféreraient qu'on emploie leurs services plutôt que ceux de lointains concurrents Roumains, il y a une entreprise déjà condamnée par l'opinion publique : Findus.

Pourtant, si on y réfléchit, on devrait les remercier. Bien sûr, on peut toujours critiquer leur mode de communication et la rapidité avec laquelle ces entreprises se dédouanent de leur responsabilité sous couvert du légal.

Mais il n'en reste pas moins que ce sont les tests ADN pratiqués à leur demande qui ont permis de découvrir ce scandale alimentaire.

"C'est Findus qui a pris l'initiative de réaliser des tests inopinés sur ses plats cuisinés. C'est parce que Findus a un système de contrôle systématique de la qualité de ses produits qu'une tromperie a été découverte" explique Matthieu Lambeaux, Directeur Général de Findus Francedans un communiqué.

Le groupe de surgelés va d'ailleurs poursuivre ses fournisseurs pour fraude et non-respect des dispositions contractuelles, a annoncé Matthieu Lambeaux dans ce même communiqué.

Le même plat, différents emballages, pas de tests obligatoires

Cela nous a permis d'apprendre, à nous consommateurs, que les tests ADN n'étaient pas obligatoires, laissés à l'appréciation de l'entreprise. Que la mention même de la provenance des ingrédients, notamment de la viande dans les plats cuisinés n'était pas imposée, et bref, que merci Findus d'avoir donc réalisé ces fameux tests ADN.

Cela nous a permis d'apprendre aussi que parfois seul l'emballage changeait et que le même plat pouvait être vendu sous différentes marques, mais ceci est une autre histoire.

Après, savoir qui de la poule, ou de l'œuf a le premier découvert la fraude, le problème reste entier. Nous avons un gouvernement qui semble découvrir ce qu'il avait soigneusement caché au fond des tiroirs, un Stéphane le Foll qui à l'air de tomber de l'arbre et paraît découvrir "le brouillard qui entoure les circuits de production de viande en Europe".

"Je ne connais pas l'origine de la fourniture de cette viande, ni ce qui s'est passé exactement" précise le Ministre de l'Agriculture, qui ne connaît pas davantage le fournisseur, mais qui annonce déjà des sanctions, ça ne mange pas de pain, la DGCCRF (dont les effectifs ont drastiquement diminué ces dernières années, ce qui ne facilite guère l'efficacité des contrôles) est sur les dents.

Pas de panique, la viande contaminée s'est arrêtée au Rhin

Les uns, les autres se renvoient allègrement la patate chaude sur l'air de "c'est pas moi, c'est ma sœur qu'a cassé la machine à fabriquer du pognon" : le gouvernement prétend s'être saisi du dossier, et l'enquête est toujours en cours.

Mais le gouvernement a beau tenter de rassurer, rien n'y fait, comment pourrait-on avoir confiance ?

Le Parisien publie une facture tendant à incriminer la société Spanghero qui aurait réceptionné 42 tonne de cheval en toute connaissance de cause (ce dont elle se défend), viande envoyée par le trader DRAPPE, dont le dirigeant a déjà été condamné par le passé.

Chez Comigel, aussi, une enquête cherche à déterminer les responsabilités.

Heureusement il y a Findus !

De cette histoire Dans tout cela, une seule chose de sûre, Findus, en procédant à ses analyses ADN a permis à nous, consommateurs, de réaliser à quel point toute cette spéculation, cette opacité, cette absence de réglementation qui favorisent et la spéculation et cette tromperie, que tout cela doit prendre fin.

Si Findus a été pointée du doigt, moquée, caricaturée sur les réseaux sociaux (parfois avec beaucoup de talent) on oublie un peu vite que ce n'est pas la seule marque en cause et qu'elle aussi est victime de tromperie.

Ainsi, de nombreuses marques distributeurs, telles Auchan, Casino, Carrefour (sous les marques Carrefour et Grand Jury), Cora, Monoprix ou encore Picard vont ou sont déjà retirées des rayons.

Finalement, et en admettant que comme pour la crise de la vache folle et des farines animales (qui seraient de retour, comme quoi les leçons du passé...) tout comme la crise de la grippe aviaire, desporcs ou des poulets contaminés ou celui des moutons à la dioxine, cela oblige à revoir les dispositifs de traçabilité et de contrôle, ce serait presque une bonne chose.

Bien sûr, dans un monde idéal, on mangerait "locavore", des plats préparés en France, avec de la viande française, des légumes français ou dont la provenance des ingrédients seraient mentionnée. On développerait des "marchés de proximité".

Dans un monde idéal, il n'y aurait pas de spéculation sur la bouffe, on ne serait pas à la merci du bon vouloir d'un industriel à faire du zèle pour découvrir ce type de fraude. Mais on ne vit pas dans le monde de Oui Oui.

La mal bouffe, disent les uns, la mafia disent les autres, mais sommes-nous prêts, accepterions-nous et même pouvons-nous payer plus cher pour avoir la garantie que les aliments de nos assiettes sont produits localement et dans les meilleures conditions ?

En attendant, plutôt que de désigner Findus comme le seul coupable idéal d'un système que les politiques paraissent découvrir, j'aurais presque envie de dire que pour le coup : "heureusement il y a Findus".

Et attendons la suite.

cheval halal

Itinéraire d'une lasagne au cheval

ACCUEIL > SOCIÉTÉ > ITINÉRAIRE D'UNE LASAGNE AU CHEVAL

Itinéraire d'une lasagne au cheval

Créé le 11-02-2013 à 20h01 - Mis à jour le 12-02-2013 à 11h32

Par Donald Hebert

De la Roumanie, où de la viande de cheval a été vendue, au rayon des supermarchés, où des lasagnes se sont retrouvées étiquetées "au boeuf", que s'est-il passé ?

Mots-clés : casino, Benoît Hamon, Stéphane Le Foll, cora, Monoprix, viande bovine

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Un lot de lasagnes Findus commercialisé au Royaume-Uni et contenant plus de 60% de viande de cheval. (Scott Heppell/AP/SIPA)

La Roumanie suspecte ?

Au départ, il y a deux abattoirs suspectés en Roumanie. "On sait qu'il y a dans cette région des mafias qui ont infiltré les administrations publiques, explique Fabrice Nicolino, auteur de "Bidoche". Il est facile de tamponner un produit quelconque, de l'estampiller origine boeuf garantie, avant de l'envoyer dans l'Union européenne". Le pays utilisait les chevaux pour le transport il y a encore peu de temps, avant un changement dans le code de la route qui aurait poussé des milliers de canassons vers les abattoirs. De quoi constituer une accusation sérieuse ? Pas vraiment. Le Premier ministre roumain en personne, Victor Ponta, a déclaré lundi qu'"aucune irrégularité n'avait été commise par une société roumaine ou sur le territoire roumain", après vérifications auprès de deux abattoirs suspectés. Les abattoirs auraient donc mis en vente de la viande de cheval étiquetée comme telle. Qui a modifié l'étiquetage ?

Des traders peu scrupuleux ?

La Roumanie exporte vers l'Italie, la France, la Belgique et l'Espagne principalement. Selon la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes, c'est un trader chypriote qui a vendu la viande roumaine, du "minerai" de boeuf congelé (pointe de muscle notamment), acheté à bas prix en grande quantité. Il est question d'un second trader, cette fois aux Pays-Bas. Les autorités sanitaires néerlandaises ont lancé une enquête lundi suite au scandale. "Nous enquêtons pour savoir s'il y a également des produits vendus sur le marché néerlandais qui contiendraient à tort de la viande de cheval", a déclaré une porte-parole de l'organisme de surveillance de l'alimentation et de la consommation. Cette enquête se concentrera également sur "l'éventuelle implication de sociétés néerlandaises", a-t-elle ajoutée. Des premiers résultats devraient être publiés d'ici à une semaine.

Spanghero a-t-il vu la viande ?

Basée à Castelnaudary, dans l'Aude, la société spécialisée dans la fabrication et la commercialisation de produits à base de viande apparaît comme l'intermédiaire suivant dans la chaîne. Elle a longtemps appartenu à la famille de rugbymen Spanghero, avant d'être vendue en 2009 à une coopérative basque, "Lur Berri". "Spanghero n'a pas d'activité d'achat, de revente ou de transformation de produits à base de viande de cheval", explique-telle sur son site internet, rappelant qu'elle respecte les règles européenne. Dans son communiqué, l'entreprise, dont les locaux sont situés en face d'un stand de tir et d'un club canin, précise qu'elle n'a procédé à aucune transformation. "Depuis 2012, la société, dans le cadre de son activité de négoce, a acheté et revendu en l'état de la viande étiquetée 'minerai de bœuf désossé surgelé UE' à son seul client, Tavola". Elle ajoute que "dans le cadre de son plan d'autocontrôle systématique, elle a procédé à des analyses bactériologiques, qui se sont révélées conformes à la règlementation sanitaire". Elle précise aussi que "la réglementation en vigueur n'impose pas de contrôles ADN, seule procédure qui permettrait de vérifier l'espèce de la viande portée sur l'étiquette". Le seul ? "Les viandes de bœuf et de cheval n'ont pas le même aspect, pas la même couleur", précise une source à la DGCCRF. "Mais pour le constater, il aurait fallu la décongeler. Et dans ce cas, il y aurait eu rupture de la chaîne du froid." Des agents de la répression des fraudes sont venus dès vendredi chez Spanghero, à un moment où le nom de l'entreprise n'était pas encore sur la place publique. Deux agents du service national sont revenus lundi. La DGCCRF vérifie notamment les comptes des entreprises. Spanghero a annoncé qu'elle avait porté plainte contre X pour tromperie, et qu'elle collaborait avec les autorités.

Comigel, le transformateur

La PME, achetée en 2007 par les partenaires de Céréa Capital, et dont le siège social est à Metz, en Moselle, est spécialisée dans la fabrication de plats surgelés "à marque distributeur". Ses produits sont distribués dans 16 pays d'Europe. Mais ses lasagnes sont confectionnées par une filiale installée à Capellen au Luxembourg, Tavola. Lors de leur transformation, le produit est alors décongelé, puis surgelé. Est-ce suffisant pour voir que l'aspect de la viande n'est pas celui du bœuf ? Le PDG de Comigel, Erick Lehagre, dit avoir lancé une enquête auprès du fournisseur de viande de Tavola, Spanghero. Il déclare qu'il était persuadé que la viande était exclusivement du boeuf d'origine française, alors que Spanghero affirme de son côté qu'"en aucun cas" sa viande n'a été vendue "sous le label Viande bovine française". Qui dit vrai ?

Les distributeurs réagissent

Findus, groupe agroalimentaire international leader du surgelé en grande et moyenne surface, commercialise des produits préparés par ses soins mais aussi par des sous-traitants, notamment Comigel. Comme Comigel, Findus appartient à un fonds d'investissement, Lion Capital. Ce n'est pas le seul distributeur concerné. Auchan, Casino, Carrefour, Cora, Monoprix et Picard ont retiré de la vente des produits Findus, mais aussi ceux qu'ils ont commercialisés sous leurs propres marques venant également de chez Comigel, sans toutefois préciser lesquels. Les principales entreprises de restauration collective en France ne se sont pas fournies directement auprès de Comigel ou Spanghero, a indiqué de son côté le Délégué général de leur fédération, qui procède à des vérifications.

du cheval dans les lasagnes

Spanghero, Findus sont à la bouffe ce qu'Accord est à l'hôtellerie, le degré O de leur profession

Quand on marque 100% pur bœuf sous sa marque et que c'est 100% faux, on peut s'attendre à toutes les inepties. Il n'y a plus qu'à espérer que la branche poissons de Findus ait été mieux gérée. La confiance ne se décrète pas à coup de millions d'euros de messages publicitaires ! " Il n'y a pas plus de Spangheros chez Spanghero, qu'il n'y a de boeuf dans leurs lasagnes "

Quand les médias s'emballent.....

Meuh !

Les lasagnes pur boeuf, ça existe

mais pas chez "Spanghe-Fndus", cliquer sur l'image pour voir